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HomeArticlesVol. 3 No. 6ASPECTS STYLISTIQUES ET SEMANTIQUES DANS LE PARLER NGBAKA MI-NA- GE-NDE DANS LES...

ASPECTS STYLISTIQUES ET SEMANTIQUES DANS LE PARLER NGBAKA MI-NA- GE-NDE DANS LES ACTIVITES QUOTIDIENNES EN SECTEUR DE BONWASE VILLE DU SUD UBANGI, RD CONGO

DABEAFIONE GBALENGEMO Delatin a, PENZE BANAKPO Faustin b

  1. Assistant ISP KARAWA NORD-UBANGI
  2. Assistant ISP GEMENA SUD-UBANGI.

Received 2 August 2023; Accepted 1 October 2023

Available online 5 January 2024

ABSTRACT

Population dans la province du Sud-Ubangi en République Démocratique du Congo, une population très engagé dans les travaux champêtres grâce au climat équatorial, utilisent durant les activités quotidiennes certaines expressions qui contiennent leurs codes et mots de passe pour la réussite de leurs marchés et travaux. Nous disons que le peuple ngbaka dans leurs activités quotidiennes utilise des expressions de manière originale, propre à eux, mobilisant des données sensibles sous formes d’images, des rythmes, des sons, des structures en intension et le mouvement profond du cœur en vue de présenter certaines attitudes de joie ou mécontentement vis-à-vis de certains membres de leur communauté.

People in the province of Sud-Ubangi in the Democratic Republic of Congo, a population that is very committed to field work thanks to the equatorial climate, use certain expressions during daily activities that contain their codes and passwords for the success of their contracts and works. We say that the Ngbaka people in their daily activities use expressions in an original way, specific to them, mobilizing sensitive data in the form of images

I.INTRODUCTION

L’Afrique noire depuis longtemps disposait de valeurs culturelles très importantes, mais moins considérées, car les travaux que menaient les ethnologues occidentaux étaient axées sur l’étude des œuvres d’art en rapport avec l’ensemble de la culture africaine et en déterminait les constantes et les styles. Cependant, les objets africains qui parvenaient en Europe y firent longtemps figurent de « curiosité » auxquels on reconnaissait difficilement des qualités esthétiques. Or, vers les années 1905, quelques poètes modernistes, parmi lesquels Guillaume Apollinaire et Islaise Cendrars, quelques peintres de l’école de paris, comme Vlaminek et Braque, attirent l’attention sur les masques et les statuettes africaines et insistèrent sur leur haute valeur formelle (1).

Quant à la littérature, les rencontres furent moins profondes. C’est que l’Afrique noire manque d’écriture et que l’on a accoutume longtemps à ne considérer comme littérature que les textes écrits. La littérature orale, par ses conditions de transmission est condamnée à ne pas dépasser le cercle assez étroit de groupes sociaux restreints, d’autant qu’elle est très souvent liée à des croyances et à des modes de vie particuliers. C’est seulement l’éthnologie qui a permis de se rendre compte qu’à des dates assez récentes, il existe en Afrique noire une littérature abondante et diversifiée du plus haut intérêt.

L’ethnologue ne s’intéresse pas à la littérature comme telle, elle est pour lui, d’abord un document sociologique ou culturel. Il ne l’étudie guère dans ses aspects esthétiques. Les « dits » qui ont été recueillis restent quelque peu disparates incomplets. Ce sont les africanistes, qui, à la valeur de leurs études linguistiques sont actuellement les mieux placés pour nous donner les recueils et les études qui s’imposent sur les différentes littératures orales de l’Afrique noire.

Eu égard à ce qui précède, le contact est tel que la relation des « dits » anciens qui ponctuaient le cours de la vie du groupe se détériorent ou se perdent. Les initiatives successives à la vie, sur quoi était fondée l’éducation de jadis et qui recouvraient en grande partie à la connaissance de contes, de proverbes, de mythes, des adages perdent leur importance.

Ainsi donc, si nous nous sommes engagé dans un tel travail qui va de pair avec la littérature, notre préoccupation est celle de faire voir qu’il existe dans nos langues maternelles une grand valeur littérature que nous ignorons et dont le champ reste encore vierge, pouvant interpeler les chercheurs de mettre à la portée du public locuteur, les informations au même titre que la littérature occidentale.

Sur ce, notre approche est liée à la notion de la stylistique dans le parler Ngbaka en vue de permettre aux locuteurs de ladite langue de se rendre compte de cette richesse qui risque de disparaître, suite au contact de plusieurs influences étrangères.

  1. Le fondement historique de la stylistique

Définition de la stylistique : c’est l’étude de la manière dont l’auteur exprime sa pensée. Elle est une rhétorique moderne sous sa double forme c’est-à-dire à la fois une science de l’expression et une critique de style industriel (2). Le style : c’est une manière personnelle d’écrire ou la manière d’expression de sa pensée ou encore la manière propre à un individu, à un genre ou à une époque donnée. Notons du Fondement historique de la stylistique que elle est née par trois professeurs des universités notamment professeur BALLY qui a parlé de la stylistique de l’expression, professeur Jules MAROUZEAU qui a parlé de la stylistique de la parole et enfin professeur Léo SPITZER qui a parlé de la stylistique de l’individu (3). Considérant les différentes stylistiques énumérées ci-haut, notre champ d’action est focalisé sur la stylistique de l’expression de Charles BALLY en vue de faire valoriser la notion de l’école du langage employé par locuteur Ngbaka dans leurs expressions quotidiennes.

II. MATERIEL ET METHODES

  1. MATERIEL
  2. Présentation de la Province du Sud Ubangi

b. Description de la province du Sud Ubangi

L’appellation « Ubangi » est partagée par la Province du Nord-Ubangi et celle du Sud-Ubangi depuis 1906, désignant ainsi en raison de leur position géographique par rapport à la Rivière « Ubangi ».Le Chef-lieu de District de l’Ubangi a d’abord été transféré de Libenge à Bowanga (dans le secteur de Nguya) ensuite à Gemena.En 1964, le District de l’Ubangi est devenu Province de l’Ubangi avec comme Chef-lieu, Gemena. Le 08 décembre 1972, par l’Ordonnance-Loi n°72/462, le District de l’Ubangi a été scindé en deux entités administratives distinctes, à savoir, le Nord-Ubangi et le Sud-Ubangi. La Constitution du 18 février 2006 telle que modifiée à ce jour, a créé vingt-six provinces dont celle du Sud-Ubangi.

Le Sud-Ubangi redevient province de manière effective le 11 juillet 2015 avec l’application de la Loi de Programmation n°15/04 du 28 février 2015 déterminant les modalités d’installation de nouvelles provinces en République Démocratique du Congo.

La Province du Sud-Ubangi est située dans le Nord-Ouest de la République Démocratique du Congo (RD Congo) et partage ses frontières avec la République du Congo (Congo Brazzaville) et la République Centrafricaine à l’Ouest, la Province du Nord-Ubangi au Nord-Est, la Province de la Mongala à l’Est et, la Province de l’Equateur au Sud. La Province est donc comprise entre 4° 1’ de latitude Nord, 3° 4’ de latitude Sud, 16° 45o de longitude Est et 18° 50’ de longitude Ouest.

Quant au Relief, une bonne partie de la Province se trouve dans la cuvette centrale, son relief est dominé par des chaines des collines et des plateaux.

S’agissant du Climat la province bénéficie des conditions climatiques favorables non seulement à un développement intensif de l’agriculture et de l’exploitation forestière mais aussi à celui de la pêche et de l’élevage.

Ce climat, très particulier, est caractérisé par des températures constamment élevées et des précipitations abondantes, constituent les principaux facteurs favorisant le développement des activités agricoles dans la Province.

II. METHODES

La méthode dans le domaine scientifique est un ensemble des démarches que suit l’esprit pour découvrir et démontrer la vérité. Notre préoccupation dans ce travail est de faire voir les aspects stylistiques et sémantiques du point de vue langage chez les ngbaka, puis qu’elle demeure une condition sine qua non, car c’est elle qui détermine la qualité des résultats et la fécondité des perspectives du travail dont nous avons opté pour les méthodes structurale et analytique : La première considère la langue comme étant une organisation, un système, c’est-à-dire un ensemble d’éléments plus ou moins hétérogènes, mais qui partagent des relations réciproques dans des ensembles précis dont la langue est constituée ( F. de Saussure,2018).La deuxième qui considère dans l’analyse des libellés du concept avec l’ensemble des désignations soumises à l’analyse onomasiologique qui porte le nom de champ linguistique, ou champ conceptuel ou champ rationnel.

Etant locuteur de cette langue, nous nous sommes donné la peine d’élaborer un questionnaire pour nous guider dans notre recherche. Les matériels utilisés sont les documents écrits en Ngbaka, le questionnaire d’enquête et l’ordinateur.

  1. Sources de données : Dans le domaine linguistique plusieurs sources existent en vue de mener une recherche notamment :
  • Les données sociologiques : ce sont des données sur les conditions sociales dans l’utilisation d’une langue donnée ou les correspondances entre les phénomènes linguistiques et la structure sociale. Là, on a à faire avec la sociologie.
  • Les données psychologiques : c’est en rapport avec les processus mentaux de production et de compréhension de la parole. Une telle étude est appelée psycholinguistique.
  1. Limites : considérant la conjoncture que nous traversons, beaucoup de difficultés ont été observées sur terrain. Ce sont des difficultés d’ordre :
  • Social : il n’existe pas des bonnes routes pour accéder à des informateurs qui sont au fond même du milieu de terrain d’enquête.
  • Linguistique : La récolte des données était suivie de la traduction en français, d’où toute traduction d’une langue dans une autre présente toujours un problème.

* Localisation et nombre des informateurs enquêtés

Nos informateurs sont des habitants vivant dans le secteur de Bonwase et tous sont des locuteurs ngbaka.

III.RESULTATS

III. Présentation de corpus, les traductions et applications sociales

En vue d’atteindre notre idéal dans la conception de ce présent travail, nous avons jugé bon de sélectionner les différentes expressions capables de fournir les données fiables pour répondre aux exigences littéraires.

III.1. tableau de données

Expressions Ngbaka

Traductions françaises : sens objectif

Traductions françaises : sens affectif

Applications sociales

01

Kala kuli ti wele

  • Récupérer les œufs couverts par une personne
  • Dépouiller une personne

Déstabiliser quelqu’un dans ses activités

En principe, ce sont les poules qui couvrent. Les locuteurs ngbaka utilisent cette expression pour désigner une personne déstabilisée dans ses activités ou la révoquer dans son service.

02.

Ba bü zä wele

  • Enlever le souffle dans le ventre d’une personne
  • Dégonfler une personne

Assommer ou tuer quelqu’un

Les locuteurs ngbaka utilisent cette expression pour signifier qu’une personne est assommée par violence ou tuer atrocement.

03.

Gala li de ngɔ ha bagɔtɔ

Evacuer l’eau de rousseau en amont au profit d’en aval.

Réaliser un travail sans être bénéficiaire, sans profit ni intérêt.

Ladite expression s’applique lorsqu’on réalise un service sans profit ni bénéfice.

04.

Gene tolo

Un chien visiteur

Un visiteur indésirable et surtout insupportable dont sa présence embête.

L’expression est utilisée pour tout visiteur qui ne se respecte pas.

05.

Li go bawe do dale

La flaque d’eau a réchauffé la grenouille

Une personne en difficulté ou dilemme.

L’expression est appliquée pour une personne en difficulté et ne sait comment s’en sortir

06.

Ama bele ngenze

Allaiter les mamelles d’un porc-épic.

Mener une vie difficile

L’expression est appliquée à une personne qui mène une vie difficile.

07

Ba mbɔlɔ nu zɔ kange

Enlever le rhume au nez d’une vipère

  • Courir des risques,
  • Prendre du courage.

L’expression est utilisée pour les courageux et ceux qui aiment prendre des risques.

08.

Kengele gba ze we.

Poursuivre une grande fumée

Mendier ou surveiller la cuisine d’autrui.

L’expression est appliquée pour une catégorie de gens paresseux et mendiants.

09.

Sutu kwe £ kwe

Sortir l’intérieur d’une gibecière c’est la détruire

Les avis contraires dans un dialogue sont destructifs

L’expression s’applique lorsque des avis contraires interviennent dans un dialogue.

10.

Ali ‘do kɔkɔlɔ

Verser de l’eau sur le dos d’un canard

S’engager dans une situation vaine

L’expression est appliquée pour un service sans résultat favorable.

Commentaire sur le tableau

Cet aspect est inséré dans la réalisation du travail en vue de faire remarquer la circonstance dans laquelle les expressions ngbaka s’appliquent dans la situation de communication.

  1. Kala kuli ti wele : ladite expression est souvent utilisée à des gens qui sont déstabilisés dans l’exercice d’une fonction qui amène une survie pour la famille
  2. Ba bu za wele : cette expression est utilisée au cas où une personne connait la mort par violence ou soit préparatif qui est en cours pour assommer une personne par violence.
  3. Gala li de ngɔ ne ba gɔtɔ dili nee : dans la mesure où un travail rendu n’en profite à celui qui a travaillé, à ce moment on utilise pour dire que le travail réalisé est vain.
  4. Gene tolo : dans la culture ngbaka, le chien est un animal qui symbolise l’avarisme. Ainsi

donc, toute personne, tout visiteur qui ne se respect pas est souvent taxé de cette expression pour montrer comment il ne se donne pas une certaine considération lors d’un voyage dans une autre

famille.

  1. Li go bawe do dale : lorsqu’une personne est en difficulté ou dilemme, les gens qui l’observent entrain de souffrir utilisent cette expression pour faire montrer que cette dernière est souffrant et ne sait comment s’en sortir.
  2. Ama bele ngenze : il existe souvent des courageux ou audacieux de mauvais sens dans nos différentes sociétés. Pour les peuples ngbaka, tout le monde qui s’engage dans une affaire pouvant lui coûter la vie soit la mort ou peine de prison est taxé par cette expression.
  3. Ba mbolo nu zo kange : une vipère est un serpent tête triangulaire aplatie à deux dents ou crochets à venin, qui vit dans les terrains broussailleux et ensoleillés. On l’utilise pour un doute. Doute sans crainte devant un danger.
  4. Kengele gba ze we : il existe une catégorie des gens dans la société qui ne veulent pas travailler mais aiment bien côtoyer ceux qui travaillent chez eux, il y a toujours de fumée, signe de la vie puis que la cuisine est opérationnelle.
  5. Sutu kwe, e kwe : le sac qui permet au chasseur de mettre son gibier souffre d’une impossibilité de faire sortir la partie interne car cette pratique peut abîmer le sac. Ici, lorsqu’on est en dialogue et que tout le monde abonde dans le même sens, cependant un avis contraire qui vient d’opposer les bonnes innervations est sanctionné par cette expression en vue de décourager le propos de l’opposant.
  6. Ali ‘do kokolo : tout conseil qui n’influence pas un changement sur le comportement est un travail vain.

IV. DISCUSSION

Notre étude semble la première dans cet aspect de parler dans la stylistique ngwaka chez les travailleurs en ce qui concerne les codes et expressions qu’ils utilisent pour la passation de marché et conservation des cultures. Cette séquence quant à la discussion allait faire l’objet de certains auteurs qui ont eu à mener leur en ce qui concerne les codes recherche par rapport aux aspects stylistiques et sémantiques sur le parler ngbaka. Hélas, nous n’avons pas eu la chance de tomber sur de tels travaux. Mais alors en exploitant les livres et les notes de nos cours en cette matière de la stylistique, nous avons trouvé utile de formuler notre sujet sur base des données que nous venions de démontrer et cette démonstration constitue toute discussion scientifique, car notre problématique du point de vue de certaines constructions des expressions dans le parler ngbaka ont prouvé les aspects stylistiques et les sens affectifs dans nos observations après avoir collectionné les données, les traitées et donner de points de vue favorables que la stylistique dans ses études cherche à dégager les écarts dans la manière ordinaire de parler et celle d’un langage codé dont on est obligé de suivre des démarches pour arriver à faire le décodage conforme à la psychologie sociale du langage.

V.CONCLUSION

L’intérêt et l’objectif dans notre étude ont été d’analyser et évaluer les aspects stylistiques et sémantiques dans les activités quotidiennes du peuple ngbaka mi-na-gé-ndé dans la province du sud-ubangi secteur de Bonwase en territoire de Gemena en vue de se rendre compte s’il existe effectivement les effets stylistiques à travers les connotations quant aux expressions utilisées pendant les travaux quotidiens et de les utiliser en bonne et due forme. Pour atteindre cet objectif, des méthodes et techniques ont été utilisées dans le souci d’obtenir les données linguistiques y afférentes. C’est pourquoi la sélection des expressions à partir d’interview auprès de nos informateurs, mais aussi les documents écrits en ngbaka nous a permis de présenter un tableau, avec des expressions, les traductions et les applications sociales.

En effet, après analyse et interprétation des données sélectionnées et traitées, les résultats ont été présentés en terme de commentaire en vue de prouver que la langue ngbaka est riche en expression car les analyses nous ont démontré qu’il existe un écart dans le langage ordinaire et les expressions qui nécessitent un certain niveau de la compréhension. Selon l’inventaire, hormis la liste présentée ci-haut, il y a d’autres qu’on n’a pas repris.

Pour clore, un aspect de curiosité particulière a retenu notre attention et c’est celui d’utilisation de tout ce qui est environnemental constitue l’élément dans la composante des expressions notamment : l’eau, la forêt, l’animal, l’oiseau, la gibecière, l’aire, l’œuf, les différents matériels qu’utilise l’homme dans ses activités quotidiennes. Donc, la langue ngbaka présente beaucoup d’expressions dans la communication au même titre que le français, l’anglais, l’espagnol, l’italien etc et nous suggérons que les auteurs et chercheurs continuent dans ce même thème pour permettre une discussion des résultats dans nos futures recherches.

 

REFERENCES BIBLIOGRAPHIES

  1. MARCEL HENRIX Cicm : Dictionnaire Ngbaka-Français, RECALL PUBLICATION 2000 Ghent, Belgium, 480P.
  2. SENEMONA SEWI TOLOWEGO : Les noms ngbaka 2016, 124 P
  3. Vedast MAES : Les ngbaka du centre de l’Ubangi, dépôt légal n° 210/84 2ème trimestre, 133 P
  4. V.P Bol et J. ALLARAY : Littérature et poètes noirs, bibliothèque de l’étoile B.P 3375-Léopoldville, 1964, 79 P
  5. GUIRAUD (P) : La stylistique, paris, « que sais-je ? »
  6. LEMA-VA-LEMA Antoine : notes de cours de méthodes ou techniques de recherche en littérature, L1 FLA ISP/MBKA, 2012, inédit.
  7. LOWENGA LA WEMBOLOKE Oscar : cours de la rhétorique L1 FLA ISP/MBKA 2012, inédit
  8. MAES Vedast, – Lεngε ngɔ nu ubangi, Kin, St Paul, 1980, 63P
  • Proverbes et devinettes Ngbaka, annales du musée royal de l’Afrique centrale, Belgique, 1967, 164P;
  1. Marcel HENRIX, – Gba lεngε Ngbaka (proverbes ngbaka), CICM, 11è rue/Limeté Kinshasa, RDC, 2000, 480P;
  2. Dictionnaire Ngbaka-Français, Ghent, Belgique, 2000, 480P.
  3. SEWI T. SENEMONA, Les noms Ngbaka, SL, 2016, 76P.
  4. KUMUGO NGEMENA, Linguistique générale, G1 FLA, ISP/Gemena, 2020, inédit.
  5. Jean-Pierre Donzo Bunza, « L’expression du temps chez les Ngbaka », African Study Monographs, vol. 30, no 4,‎ décembre 2009 (lire en ligne [archive])
  6. Marcel Henrix, Dictionnaire ngbaka-français, Gand, Research Centre of African Languages and Literatures (RECALL), Gent Universiteit, 2000, 500 p. (ISBN 978-90-76327-17-4 et 9076327173)
  7. Marcel Henrix, Michael Meeuwis et Peter Vanhoutte, Dictionnaire ngbaka-français, Muenchen, LINCOM, 2015 (ISBN 978-3-86288-640-1 et 3-86288-640-9)

 

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